Parler anglais ne sert pas uniquement à enrichir un CV. C’est un véritable levier économique, aussi bien pour les entreprises que pour le pays. Selon une étude menée par le cabinet Asterès pour la Fédération de la Formation Professionnelle (FFP), une hausse de seulement 1 % du nombre de travailleurs français atteignant le niveau B2 en anglais entraînerait un gain annuel de 4,76 milliards d’euros pour l’économie nationale¹.
D’où viennent ces 4,76 milliards d’euros ?
Ce chiffre combine deux types de gains :
- 4 milliards d’euros d’exportations supplémentaires, en particulier dans les services et les métiers où les interactions humaines sont essentielles.
- 760 millions d’euros de gains de productivité, grâce à une meilleure communication, des délais réduits, moins d’erreurs, et des échanges plus fluides avec les partenaires internationaux.²
Un simple progrès de 1 % peut avoir un impact macroéconomique majeur.
Ce que gagnent les entreprises
Du point de vue de l’entreprise, si 10 % des salariés atteignent le niveau B2, cela peut générer une hausse de 1,53 % du chiffre d’affaires annuel, uniquement grâce aux gains de productivité.³
Et surtout : ces retours sur investissement sont concentrés dans les six premières années, ce qui rend la formation linguistique rapidement rentable.
Ce que gagnent les professionnels
Les individus aussi en tirent profit :
- Une personne qui atteint le niveau C2 gagne en moyenne 4 600 € nets de plus par an que quelqu’un qui n’a jamais appris une langue étrangère.
- Et les bénéfices apparaissent très tôt : progresser du niveau A1 à B1 peut déjà avoir un impact concret sur la carrière.⁴
Choisir la bonne formation fait toute la différence
Mais pour que la formation ait un impact réel, elle doit être adaptée aux besoins spécifiques de chaque apprenant.
Chez English Proficiency, nous n’utilisons pas de solution toute faite. Notre travail est minutieux, ciblé, et profondément humain.
Nous aidons chaque professionnel·le à progresser dans son propre environnement de travail :
- Nous avons aidé un data engineer à présenter ses algorithmes à ses parties prenantes.
- Nous avons accompagné une technicienne de laboratoire médical à discuter des besoins liés à la détection des anticorps anti-HLA avec son fournisseur.
- Nous avons soutenu un bénévole dans une fédération de rugby pour qu’il puisse parler du rugby à l’international.
- Et bien sûr, nous travaillons aussi des compétences comme la rédaction d’emails, la prise de parole, les réunions ou les appels professionnels — toujours dans des contextes concrets et réalistes.
Nous nous adaptons. Nous cherchons des ressources. Nous créons des supports sur mesure. Et parfois, nous apprenons avec nos apprenants — parce que leur métier est unique, et leur anglais doit l’être aussi.
Références
- Asterès, L’apprentissage des langues étrangères : un atout pour l’individu, l’entreprise et l’économie, rapport commandé par la Fédération de la Formation Professionnelle, septembre 2021, p. 10.
- Ibid., p. 10.
- Ibid., p. 2.
- Ibid., p. 2.